La célèbre écrivaine de Harry Potter a été bannie d’un événement autour de la saga pour des propos « extrêmement haineux et controversés » envers les transgenres. 

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La créatrice de la célèbre saga Harry Potter est de nouveau attaquée. Dans un article publié le samedi 5 août dernier, Chris Moore, directeur de l’exposition Harry Potter au musée de la pop culture à Seattle, dans l’État de Washington, a annoncé que toute référence à J.K. Rowling sera bannie de l’événement. Comme le rapporte le Daily Mail, Chris Moore reproche à l’auteur de tenir des propos « extrêmement haineux et controversés » envers les transgenres. Dans la panoplie d’objets souvenirs qui seront présentés au public, « plus aucune mention ou image de l’auteur ne sera affichée », a-t-il précisé dans son message. Selon ce dernier, « la solution n’est pas idéale, mais c’est ce que nous pouvons faire pour l’heure, en attendant de prendre des mesures sur le long terme ».

J.K. Rowling une résistante face à « l’activisme trans »

Ce n’est pas la première fois que J.K. Rowling est prise pour cible après avoir tenu des propos que la majorité des individus considèrent comme “normaux”. Tout commence en 2020, quand l’auteur ironise sur l’appellation « personnes menstruées ». Presque instantanément, Internet s’emballe dans cette nouvelle polémique. Comme le rappelle Le Figaro, deux jours après son premier message, l’écrivaine ajoute : ​​« J’ai cinq raisons de m’inquiéter du nouvel activisme trans, et j’ai décidé de les partager avec vous ». Ce n’est pas la première fois que les militants d’extrême-gauche excluent J.K. Rowling d’un événement autour d’Harry Potter. L’été dernier elle avait été évincée de l’émission « Retour à Poudlard » organisée par la Warner, pour les 20 ans de la saga au cinéma.