Dans un entretien accordé au média Livre Noir, l’ex-Femen et militante Marguerite Stern a pointé du doigt l’insécurité dont sont victimes les femmes au quotidien à cause de l'immigration.

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« Toutes les femmes le savent, on ne le dit pas publiquement parce qu’on a peur de se faire lyncher. » Dans une interview accordée au média d’extrême droite Livre Noir, dimanche 16 juillet, Marguerite Stern n’a pas mâché ses mots. Durant plus de deux heures, l’ex-Femen et militante est revenue sur son évolution et ses convictions, évoquant différents sujets de société tels que le féminisme, la transidentité, l’immigration ou encore l’islam.

L’occasion pour la féministe de dénoncer l’insécurité dont sont victimes les femmes au quotidien. Une insécurité venant en majorité « d’hommes d’origine africaine ou maghrébine », a-t-elle affirmé. « Oui, proportionnellement, les individus issus de l’immigration d’Afrique et du Moyen-Orient, les populations en majorité musulmane, agressent plus les femmes que les Français de culture française. Je sais qu’on va me traiter de raciste, mais ce sont des faits », a-t-elle justifié.


« J’ai un très gros problème avec la gauche »

Lors de cet entretien, Marguerite Stern est également revenue sur son passé et ses relations avec la gauche. Depuis plusieurs mois, elle est accusée par ses anciens supporters de flirter avec l’extrême droite. « J’ai un très gros problème avec la gauche », a assumé la féministe. « Je déplore que la gauche préfère, sous couvert d’antiracisme, vous traiter d’islamophobe », a-t-elle fustigé.


L’ex-Femen a accusé la gauche de ne pas « accepter la réalité » lorsqu’elle affirme que toutes les femmes se sentent « en insécurité dans les quartiers où il y a une surreprésentation d’hommes d’origine africaine ou maghrébine ». « Je ne supporte plus l’idéologie et le dogme qui servent à masquer la négation de la réalité. La réalité, à un moment, il faut l’accepter », a-t-elle conclu.